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Johnny Hallyday – Essayez / Poeme Sur La 7ieme

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INTERVIEW – David Hallyday : Johnny, Sylvie, ses sœurs… La grande confession !

jeu. 19 septembre 2024 à 06h42

@©Marcel Hartmann/H&K

Quand ils avaient joint leurs talents, cela avait donné Sang pour sang, l’album le plus vendu de Johnny. Aujourd’hui, sur scène*, le fils s’apprête à mêler le répertoire de son père au sien. Un moment suspendu comme un voyage en enfance. Enfance qu’il revisite pour nous. A coeur ouvert.

Derrière ce mélange de sympathie et de pudeur – héritage familial –, on devine un homme solide, décidé. Qui ne craint pas de faire des choix. Comme celui de Requiem pour un fou, un album qu’il s’apprête à porter sur scène, et dans lequel il s’est autorisé à réarranger et mêler ses chansons à celles de son père. Un voyage dans sa propre histoire qu’il va offrir et qui va le bousculer, il le sait. Il a d’ailleurs attendu avant d’oser cette émotion-là. Il a pris le temps de mettre à distance le chagrin d’un fils qui a perdu son père.

GALA : Comment vous est venue l’idée de cet album ? DAVID HALLYDAY : Au début, j’ai simplement réenregistré certaines de mes chansons qui méritaient, selon moi, une meilleure production. Et je me suis dit : « Tiens, pourquoi ne pas reprendre aussi Sang pour sang ? » Une chose en entraînant une autre… Par ailleurs, je venais d’écrire une autobiographie [Meilleur album, édition Le Cherche Midi, ndlr] qui m’avait replongé dans les souvenirs.

GALA : Des souvenirs musicaux ? D. H . : Bien sûr, car les chansons de mes parents font partie de mon ADN. Et j’ai réalisé, après coup, qu’avec ce travail de réarrangement je m’inscrivais dans la suite de Sang pour sang, dans ce qu’on avait commencé à raconter tous les deux : les valeurs à partager, la transmission, ce qu’on laisse à nos enfants, à notre famille, la trace…

GALA : Vous poursuivez finalement une conversation avec lui ! D. H. : Avec mon père on s’est dit beaucoup de choses, des merveilleuses et des plus difficiles. Et je me dis qu’il aurait été fier de cet album-là. Il aurait aimé le chanter.

GALA : La tournée, qui commence le 2 novembre 2024, va être extrêmement visuelle. Peut-on parler de spectacle musical ? D. H. : Oui. Je vais raconter une histoire…

GALA : Celle d’un père et d’un fils ? D. H . : Pas seulement. Je vais aussi revenir sur cet autre lien qui nous unissait et qui était la musique.

GALA : Vous avez souffert de ne pas faire une suite à Sang pour sang avec lui ? D. H. : Non. C’est d’ailleurs moi qui ne l’ai pas souhaité. Parce que je n’avais pas envie de trahir ce qu’on avait fait, ce que j’avais vécu avec lui et lui avec moi. C’est comme au cinéma, parfois, la première prise est la meilleure parce qu’on est dedans, on ne réfléchit pas, on vit le moment.

GALA : Et c’est l’album de votre père qui s’est vendu le plus ! Pourquoi choisir le nom de Hallyday et non pas celui de Smet ? Cela correspondil à une dualité entre l’homme public et l’homme privé ? D. H . : Pas du tout. Ce nom m’a été donné dès ma naissance : dans Paris Match, on annonçait que Sylvie Vartan présentait son fils David Hallyday. Et ça m’a suivi !

GALA : C’est donc quasiment la presse qui vous a baptisé ? D. H. : [Il rit.] C’est ça ! Et puis j’ai toujours été fier de porter ce nom.

GALA : Faire ce métier a-t-il été une évidence depuis le départ ? D. H. : Oui. Je suis sorti du ventre de ma mère comme ça ! On peut faire toutes les émissions genre télé-crochets, être formé à plein de trucs techniques, mais on n’apprend pas à être un artiste, un musicien. C’est plus qu’une passion, c’est une vocation. Quand mes parents me voyaient jouer de la batterie comme un adulte, ils disaient : « Il est bizarre ce gosse ! », mais ils m’ont laissé faire ce que je voulais. A l’époque, si je n’étais pas bon à l’école ce n’était pas parce que je n’aimais pas ça, mais parce que je ne pensais qu’à une chose : rentrer chez moi pour taper sur ma batterie et inventer des mélodies. Avoir des parents artistes qui m’ont compris très tôt a été le grand luxe de ma vie.

GALA : Vous écrivez aussi des chansons pour votre mère. Est-ce un exercice particulier ? D. H. : Oui. Parce que c’est ma maman. [Il sourit.] Dans la relation que l’on a avec son père, je le constate avec mon fils Cameron qui a maintenant 19 ans, il y a une espèce de truc animal, plus en force, alors qu’avec ma maman, c’est le côté tendre, délicat. Ce n’est pas le même travail.

GALA : Vous allez lui succéder sur la scène du Dôme de Paris-Palais des sports. Elle y fait ses adieux les 8, 9 et 10 novembre 2024. Et vous vous y produisez les 12 et 13… D. H . : Comme le disait Einstein : « Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito. » C’est quand même assez dingue, parce que je fais ce métier depuis les années 80, et l’occasion de croiser en tournée ma mère, ou même mon père, ne s’est jamais présentée. Et là… C’est très symbolique de nous retrouver dans ce moment si particulier pour nous deux.

“J’AI TOUJOURS DIT À MES SOEURS QUE J’ÉTAIS LÀ SI ELLES EN AVAIENT BESOIN”

GALA : Une émotion de plus. Comme celle d’avoir fêté avec elle cet été vos 58 ans et ses 80 ans… D. H. : Pour être franc, me concernant, je ne suis pas très anniversaires, ça me barbe un peu même, et ça n’a rien à voir avec le fait de prendre de l’âge, mais c’était surtout émouvant d’être tous ensemble pour souffler les bougies avec ma mère.

GALA : Avez-vous peur du temps qui passe ? D. H. : Je suis assez philosophe et lucide sur ce sujet, on connaît tous la fin de l’histoire, donc je n’ai pas peur, non. Quant à ma mère, elle a une telle énergie qu’elle va tous nous enterrer ! En revanche, je fais de mon mieux pour être présent. Ma maman est très nostalgique. Je lui rappelle parfois qu’elle doit davantage profiter du moment qu’on est en train de vivre. Que c’est « maintenant » qui importe.

GALA : Vous avez longtemps été un enfant unique. Vous souvenez-vous de votre réaction quand votre soeur Laura est née ? A l’époque, vous aviez 17 ans… D. H. : J’étais super ému et très heureux. Mais j’habitais à 12 000 km ! On s’est vraiment rencontrés à l’aube des années 2000, quand j’ai quitté les Etats-Unis pour redevenir citoyen européen. Là, le mot « soeur » a pris tout son sens.

GALA : Après vous avez eu une autre soeur, Darina. Puis Jade et Joy… Etre l’aîné d’une fratrie recomposée donne une responsabilité particulière ? D. H. : Bien sûr. Dans les épreuves surtout. J’ai toujours dit à mes soeurs que j’étais là si elles en avaient besoin. Et j’ai opéré de la même façon avec mes enfants. Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi.

GALA : A propos de Jade et Joy, les filles que votre père a adoptées avec Laeticia, l’heure est-elle à l’apaisement ? D. H . : Il y a deux chemins dans la vie : soit vous portez des choses très lourdes et vous les laissez infuser en vous comme un poison, soit vous les transcendez. Changer le plomb en or, c’est ce que je fais depuis toujours en transformant en chansons ce qui a pu me blesser, me faire mal, ce qui m’a semblé injuste. J’ai cette chance : je peux créer. Et je suis né combatif.

GALA : Vous ouvrez la porte en somme ? D. H. : Depuis longtemps, j’ai arrêté d’essayer de contrôler les choses. Peu importe ce que l’on pense ou l’on a envie de penser, moi, je sais. Les faits, les actes, je les connais. Je sais ce que j’ai fait de bien, ce que j’ai fait de moins bien. Mes soeurs, il faut qu’elles vivent par elles-mêmes. Jusque-là, elles ne connaissent que ce qu’on leur a raconté. Je comprends qu’elles soient dans une grande souffrance, et c’est vraiment dommage. Tout ce que je peux dire, c’est que je les aime. Je les ai toujours aimées. Après, la vie fera qu’on se rapprochera, ou pas.

"Mes trois enfants sont des extensions de moi"

GALA : L’absence paternelle est très présente dans votre autobiographie. A l’inverse, vous êtes devenu un père très présent pour vos enfants… D. H. : Dans la vie, on fait avec ses propres armes. Moi, je n’ai essayé ni d’être un contre-exemple, ni un exemple. Je pense que j’ai naturellement eu la chance de vivre à une époque où j’ai pu faire ma carrière tout en préservant ma vie personnelle. Et mes trois enfants [Ilona, Emma, Cameron, ndlr] sont des extensions de moi. Je ne dis pas que je ne l’ai pas été pour mon père, mais disons que j’ai géré les choses différemment. J’ai beaucoup refusé de projets pour être avec mes enfants. Parce que j’en avais besoin, égoïstement. C’est aussi simple que ça. J’aime passer des moments avec eux, déconner avec eux… Bien sûr, chacun à sa vie aujourd’hui, mais il y a toujours des moments où l’on se retrouve. Ce lien familial est sacré.

GALA : Votre fils apparaît dans le clip Sang pour sang. Est-il lui aussi attiré par l’univers musical ? D. H. : Actuellement, il est à l’université, il se concentre sur le digital marketing et fait du business à côté. Mais il dessine super bien, il est très bon en acting, il a d’ailleurs suivi des cours à Londres où il a cartonné. Il adore le cinéma, la production, il est très créatif, il aime bien construire des choses, on peut dire qu’il est assez multifacettes, en somme. En revanche, la chanson, alors qu’il a une très belle voix, j’ai l’impression que ça ne le passionne pas plus que ça.

GALA : Vous êtes également grand-père… D. H. : Oui. Harrison [le fils de sa fille Ilona, ndlr] a deux ans. Je suis son « Dadou » comme il m’appelle, et c’est génial ! Sur le moment, franchement, je ne me sentais pas prêt pour ce rôle-là, parce que je suis encore un gosse dans ma tête. Mais finalement c’est comme si j’avais un quatrième enfant, je fais avec lui ce que je faisais il n’y a encore pas si longtemps avec mon fils.

GALA : Si vous aviez la possibilité, David, de revivre une seule journée de votre passé… D. H. : Difficile d’en choisir une seule, j’en ai eu beaucoup de merveilleuses, mais j’ai la chance d’avoir un beau-père qui s’entendait très bien avec mon père. Alors je dirais les grands moments où on était tous réunis. C’est tellement joyeux une famille recomposée qui s’aime.

* Requiem pour un fou , un album et une tournée événement de plus de 100 dates à partir du 2 novembre 2024 dans tous les Zéniths de France, Suisse et Belgique. Au Dôme de Paris-Palais des sports les 12 et 13 novembre

Cet article était à retrouver dans le Gala N°1631, disponible le 12 septembre dernier dans les kiosques. Pour suivre l'actualité en direct, vous pouvez rejoindre le fil WhatsApp de Gala . Le nouveau numéro de Gala est sorti ce jeudi 19 septembre 2024. Bonne lecture.

Crédits photos : ©Marcel Hartmann/H&K

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jeu. 17 décembre 2020

mer. 21 février 2018

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mer. 03 janvier 2018

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lun. 23 septembre 2019

ven. 11 octobre 2019

ven. 10 janvier 2020

ven. 23 mars 2018

Autour de David Hallyday

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Johnny Hallyday : David, Laeticia, Jade et Joy bientôt réunis ? Ces retrouvailles que plus personne n’attendait

Vers une réconciliation entre Laeticia, Jade, Joy, et David Hallyday ? Dans Gala, cette semaine, David a fait des déclarations qui ont laissé planer le doute...

La planète entière n’est pas sans savoir que l’héritage de Johnny Hallyday a créé de (gros) problèmes. À sa mort, en 2017, le Taulier a décidé de léguer toute sa fortune à sa « nouvelle » famille, laissant David et Laura sur le carreau. Si ce choix a fini d’abîmer des rapports déjà fragiles entre Laeticia et les enfants issus du premier mariage de Johnny, il se pourrait bien que David, Laeticia, Jade et Joy soient bientôt réunis.

Comme l’a indiqué un chroniqueur de TPMP jeudi 19 septembre dans Le gros doss, David Hallyday a récemment tendu la main à sa petites sœurs Jade et Joy. Fin août, il y avait déjà eu un appel du pied de Laeticia. Pour les vingt ans de Jade, elle avait posté sur ses réseaux sociaux 16 photos, dont une avec David Hallyday et toute la famille.

David Hallyday : « Les faits, les actes, je les connais »

Mais c’est début septembre que les choses ont véritablement commencé à s’accélérer. David Hallyday a à son tour fait un pas vers ses petites sœurs en faisant de tendres déclarations à leur propos dans Gala . «  Les faits, les actes, je les connais. Je sais ce que j’ai fait de bien, ce que j’ai fait de moins bien. Mes sœurs, il faut qu’elles vivent par elles-mêmes. Jusque-là, elles ne connaissent que ce qu’on leur a raconté. Je comprends qu’elles soient dans une grande souffrance, et c’est vraiment dommage. Tout ce que je peux dire, c’est que je les aime.  Je les ai toujours aimées . Après, la vie fera qu’on se rapprochera, ou pas » , a-t-il avancé.

Est-ce à dire que le chanteur français de 58 ans souhaite un rapprochement ? «  J’ai toujours dit à mes sœurs que j’étais là si elles en avaient besoin » , a-t-il en tout cas assuré.

« Depuis longtemps, j’essaie d’arrêter de contrôler les choses »

Pour autant, si, en grand frère aimait, David laisse la porte ouverte, il a aussi garanti qu’il laisserait les choses se faire. Quitte à ce qu’elles ne se fassent pas. « Depuis longtemps, j’ai arrêté d’essayer de contrôler les choses. Peu importe ce que l’on pense ou l’on a envie de penser, moi, je sais » a-t-il déclaré.

Concluant sur les pouvoirs consolateurs de l’art, David a poursuivi : «  Changer le plomb en or, c’est ce que je fais depuis toujours en transformant en chansons  ce qui a pu me blesser , me faire mal, ce qui m’a semblé injuste.  »

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THE 5 BEST Salekhard Points of Interest & Landmarks

Points of interest & landmarks in salekhard.

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1. Stela 66th Parallel

2. Obdorskiy Burg (Master's Town)

3. Polar Circle

4. pedestrian street lenina, 5. country center of national cultures.

Top Sights in Salekhard (with interactive map)

• Post author By admin
• Post date 21/03/2021
• 1 Comment on Top Sights in Salekhard (with interactive map)

You’re visiting the Russian Arctic and now you’re in Salekhard, wondering what there is to do here. We’ve put together a list of the top sights in Salekhard to help you out! A lot of people think the city is just a jumping-off point for the many outdoor activities in the area, and that there’s nothing much to see or do here. Nothing could be further from the truth.

In 1595, a small fortress was built here, and the village that grew up around it was called Obdorsk. In 1933, the town was renamed Salekhard, which is taken from the Nenets word ‘salja’harad’ meaning ‘house on the peninsula’. The city is now the capital of the Yamalo-Nenets Autonomous Region so all visitors to the area go through it at least once.

Salekhard is a remote place, even by Russian standards, and was very difficult to access for a long time. As a result, the city also has a dark side to its history. In Tsarist times it was used as a place of exile, and in the Soviet era, it was surrounded by many gulags . The city’s history and location as one of the only cities in the world crossing the Arctic Circle mean it’s a pretty cool place to explore.

As you walk around the city, keep your eyes open for some interesting local artwork – there are lots of cool murals and statues hidden away. Read on to see our pick of the top sights in Salekhard, complete with interactive map. 

Top Sights in Salekhard You Shouldn’t Miss

Shemanovsky regional museum.

This is the main regional museum for the whole of the Yamal Peninsula. If you’re keen to learn more about the local indigenous Nenets people and natural history of the area then this is the place to go. There’s also an interesting look at the town’s history as part of the Gulag Archipelago. 

The museum was actually founded way back in 1906 by a senior priest of the town’s Orthodox mission. It was originally a library of information about the Nenets people. These days, there are almost 150,000 exhibits.

The most famous display in the museum is Lubya, the baby mammoth. Lubya is a perfectly preserved baby mammoth mummy who was found by a local Nenets man in 2007. She’s been the subject of her own National Geographic article and even a movie ! 

The museum is a great place to start to learn more about the interesting history of the Yamal region.

Note : an English pamphlet is available, and some signage is also in English, but be aware that much of the museum is in Russian only.

Address : 38 Chubynina St.

Opening hours : Tue-Thur: 10:00-19:30, Fri 12:00-20:00, Sat-Sun: 11:00-18:00, Mon: closed

Torch Bridge

The bridge was built in 2004 to connect the city centre and the airport. It has actually become one of the most famous sights in Salekhard thanks to its architecture. The design features a single tower with a golden lattice structure, where the bridge gets its torch name from.

You can get a nice view of the city from the bridge itself. If you want the full Salekhard panorama then head up to the restaurant at the top of the tower!

Address : Chubynina St.

Obdorsky Ostrog

This is the original site of the Obdorskaya Fortress, which was the birthplace of modern Salekhard. Initially constructed as a prison by the Cossacks in 1595, it was converted to a fortress in 1635. In 1807 the original wooden structures here were pulled down as they were deemed to be unsafe.

Although it’s only a few years old, the reconstruction of the original wooden fortress does make you feel like you’ve stepped back in time. If you’re lucky enough to get it to yourself on a quiet winter morning, you can imagine how isolated those original settlers were.

The walled area contains a beautiful watchtower and also the Church of Basil the Great, which holds services on Sundays. You can’t enter the other buildings, but it’s a lovely place to get an idea of the original architecture of the area.

Address : 1 Respubliki St.

Church of Peter and Paul

The church is the only preserved 19th-century religious building in the entire area. It was built between 1890 and 1894, and presented some pretty unique challenges to the builders. Since it stands on permafrost, the construction required special engineering considerations – it couldn’t be built on traditional piles and it had to be +16℃ inside.

Legend has it that 7 Russian architects attempted to build the church for 15 years before declaring it impossible! Finally, the structure was completed under the supervision of a German architect, Gottlieb Zinke.

The grounds are lovely, and the church looks particularly beautiful under sparkling blue winter skies. In the postwar period, the building had all sorts of uses. It was a vegetable store, a warehouse and even a sports school. Eventually, in 1991, it was re-consecrated and returned to its original function as a church.

Address : 8 Nogo St.

66th Parallel Monument

Did you know that Salekhard is one of the only cities in the world that lies on both sides of the Arctic Circle? You’ll pass this monument as you travel from the airport to the city, and it represents the exact line of passage of the Arctic Circle. It’s a fun place to go and have your photo taken with one foot in the north and one in the south!

Interestingly, the monument was initially installed in 1980 but turned out to be in the wrong place. It was dismantled and moved in 2003 once employees of the Geological Department of Salekhard had determined the correct site for it.

You’ll probably want to go here during the day for the best photos, but it’s also a great place to visit at night due to the beautiful way that it’s lit up.

Address : Brodneva St. Hwy Airport

Memorial of the 501st Gulag Site

This is one of the more sober reminders of the history of this part of Russia. This steam engine mounted on a plinth, just north of the 66th parallel is actually a gulag memorial. Construction on Stalin’s Trans-Polar Mainline started here following the end of World War II. The labour force was made up of prisoners convicted of “political” offences. Many of them lost their lives in this hostile place.

Following Stalin’s death, the project was abandoned, and the tracks left to sink below the permafrost of the arctic tundra. This railway to nowhere subsequently became known as the Dead Road.

The plaque here is inscribed with the words “…the iron road to the very end of the earth was mercilessly laid by the fate of the people […] Deeds and destinies are not forgotten…” It’s a must-visit for anyone interested in the history of Russia, and always provokes intense emotions .

Address : Brodneva St. Hwy Airport 

This sculpture is dedicated to the mammoths that once freely roamed this region. Their bones and tusks can be found all over Yamal. Although the mammoths are long gone, you might meet one of the local arctic foxes while you’re here. The views across the river are stunning from this spot too.

You’ll need to have transportation to get here, but it’s a quick 15-minute taxi ride from the city centre. You’ll come away with photos that are sure to provide a talking point when you get home! If you’re here over the Christmas period, then you may even be lucky enough to see the mammoth dressed up as Santa Claus.

Address : Salekhard-Labytnangi-Kharp highway, near the river and ferry terminal

Victory Park

This is definitely one place in Salekhard that you shouldn’t miss. Victory Park is dedicated to the victory of the Soviet people in the Great Patriotic War. An eternal flame burns continuously in the centrepiece Pantheon. It’s a symbol of eternal life, commemorating the courage of those who fought and lost their lives.

The park itself contains a small chapel, battle awards and several interesting sculptures. There’s also an alley of names of all the Yamal residents who participated in the Great Patriotic War. You’ll also find displays of military equipment on both sides of the park. This is a beautifully meditative place to visit whilst you’re in the city. It’s also a favourite spot for residents to hang out in good weather.

Address : Youth Avenue, behind the government building of the Yamalo-Nenets Autonomous district

Open Air Park of Aviation Technology

This unique park running along the road to the airport displays various types of aviation equipment. All the aircraft here played a significant role in helping to develop Northern Siberia.

In the past, Salekhard airport was only able to accept large planes in the winter. Since the runaway was unpaved, this was when it got smoothed over with frost. During the summer a large hydroport was used to connect the city with settlements all over the region.

Unfortunately, there is nothing here in the way of signage, but it’s an unusual sight when you enter or leave the city to catch your flight.

Address : Aviation St.

The City Manor Complex

The estate of the Terentyev merchant family was built in 1898. It’s located in the historical part of Salekhard, along with the Obdorsky fortress. This manor is one of the rare surviving examples of wooden architecture in the far North of Russia. 

The arrangement of the buildings is representative of a typical manor house in Russia from the late 19th-century. There are a residence, barn and gate. Inside you’ll find furnishings and exhibits from the original era of the buildings. It’s something rather interesting in a city that otherwise feels rather modern.

Address : 1 Lambinykh St

Opening Hours : Tue-Sun: 11:00-18:00, Mon: closed

Interactive Map of Top Sights in Salekhard

When to Visit Salekhard

The timing of your visit will depend on what you want to see and do whilst you’re here in Yamal. Since it’s so far north, Salekhard has a subarctic climate, with short, mild summers and long cold winters.

Spring in Salekhard – March to May

The weather starts to warm up at this time of year. It’s one of the more popular times to visit as the days also begin getting longer. If you visit at this time, you’ll also get to experience one of the most interesting events of the year – the Reindeer Herders Festival. Usually held in Salkehard on the last Saturday in March, the event draws people from all over the region. 

The nomadic Nenets reindeer herders arrive from across the Yamal peninsula to come together and celebrate. You’ll see sledge races, axe throwing, reindeer wrangling and a host of other activities unique to this fascinating culture.

Another big draw for this time of year is the summer Nenets reindeer migration. Tens of thousands of reindeer are herded north to their summer pastures. It’s a sight that even seasoned photographers and travellers describe as spectacular.

Summer in Salekhard – June to September

Although short, summer in this part of the Russian Arctic is magical. You may have heard of the white nights which happen around the June summer solstice. You’ll see incredibly beautiful colours as the sun just touches the horizon without truly setting. It’s a wonderful time for outdoor activities in the region, with hiking, rafting and fishing getting into full swing.

Photographers will love the light on the vast, sweeping landscapes and exploring all that nature here has to offer. There are incredible glaciers and waterfalls that can only be accessed at this time of the year. You’ll also be able to taste locally grown berries and mushrooms. If you’re feeling adventurous you can even try gathering them yourself!

Autumn in Salkehard – September to October

Although short, autumn here is truly picturesque as the foliage begins to turn, revealing shades of gold and amber. It also marks the start of the winter migration season for the Nenets. Since it’s slightly warmer than spring, is a very different experience as the reindeer graze on greener pastures. 

Later in the season, you’ll experience the rolling fog across the River Ob and surrounding tributaries. It creates a truly atmospheric and mystical environment.

Winter in Salekhard – November to March

Winter here is cold and dark, but it provides unparalleled opportunities to see the beauty of the Northern Lights. There’s nothing quite like their dance across the night sky. At the time of the new moon in February, you can sometimes see them for 2 weeks straight!

In the winter you’ll need to wrap up, but there are loads of activities to keep you warm. You can ski, snowboarding and try snowmobile racing to name just a few. This is also the time when the city looks at its most magical, covered in a blanket of purest white.

Where to Stay in Salekhard

If you’re here on a group tour to Russia, then accommodation will probably be organised for you. If you’d like to stay a little longer, here are our top 3 suggestions for hotels in Salekhard.

Hotel Artika

Located near the historical part of the city, the hotel is central to all the sights of the city. It’s a great place to be based for exploring Salekhard by foot. Rooms are clean and tidy, and the on-site restaurant serves breakfast, lunch and dinner. Book here

Hotel Parallel

Also in the city centre and near the historical district is this hotel with spacious rooms. There is no restaurant on-site, but the hotel provides in-room breakfasts. Book here

Yuribey Hotel

Located further from the centre, but closer to the airport, this hotel is geared more towards business with conference facilities. There’s an onsite coffee shop, and a fitness centre and sauna are also available. Book here

Where to Eat and Drink in Salekhard

Truly the best coffee in town! The staff at this cafe are friendly and know how to make a great brew. Muffins and other snacks are also available. A great place to go for a hot drink when you’re taking in the sights of Salekhard. Highly recommended, especially in the winter.

Address: Matrosova St 16/2

Khmel’ I Sol’

With a focus on craft beer, you definitely won’t be disappointed if you’re a beer lover. The food is hearty – think gastropub grub – and the portions satisfying. We like the individual booths that allow for a party atmosphere!

Address: 24 Chubynina St

Oxota Restaurant

As you might expect for a restaurant named after hunters, this is not a spot for the vegetarians! Specialising in locally sourced products, there is an emphasis on the wild game of the region. You should also know that multiple trophies in the form of stuffed animals line the walls. This is one of the more upmarket restaurants in Salekhard.

Address: 11 Lenin St

The main draw of this restaurant is its unique location at the top of the Torch bridge. There are great views of the city and the river from here. It really does make for a one of a kind dining experience! 

Address: 40 Chubynina St

For snacks, there are lots of supermarkets in town and a great market beside the museum, near the bridge.

How to Get to Salekhard

Plane – there are two flights daily from Moscow and three flights per week from St Petersburg. There are also various other regional flights to the city.

Train – Labytnangi is the closest station. There is a direct train from Moscow and one requiring a single change from St Petersburg. You can book trains via the RZD website here .

Overland – if you’re feeling particularly adventurous then you can definitely drive to Salekhard. You should, however, consider the time of year and how confident you are on potentially icy roads. From Labytnangi you’ll need to either take the ferry or cross the river using the ice road in winter.

Guided Tours in Salekhard

We hope that you’ve found this list of top sights in Salekhard useful. If you’re considering coming to visit this beautiful part of the Russian Arctic then why not take the stress out of organising your trip and simply book it with us!

We can arrange a sightseeing day in Salekhard as part of any of our group tours. You’ll get the benefits of transport in town, a local guide fluent in English, and all your accommodation arranged for you. We’ll even arrange your flights and collect you from the airport. View our tours here .

• Tags city guide , salekhard

One reply on “Top Sights in Salekhard (with interactive map)”

Sounds like a fascinating place. I hope to visit it someday when the political climate improves.

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